Et s'élève la colombe céleste
Sans demander son reste,
Proie docile pour les opportuns
Fermement ancrés à l'écrin
Des bustes provisoires
De nos âmes passoires.
Et s'emporte la meute d'éléphants
Sous la tyrannie de l'homme penchant
Vers les sombres voies du destins
Au démiurge souverain
A l'humeur mesquine
Des rixes enfantines.
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